Gaz sarin: c’est bien un crime djihadiste de l’ASL
- Détails
- Catégorie parente: Pays du Moyen-Orient et Golfe
- Affichages : 1593
Gaz sarin: c’est bien un crime djihadiste de l’ASL
Luc Michel
Le gaz sarin à Damas ? C’est bien un crime djihadiste. Et Fabius – Hollande – BHL mentent. ET avec eux tous les médias de l’OTAN. Mais çà, ce n’est pas nouveau.
Voici les preuves en video, filmées par les TV syriennes et Russia Today, la chaîne russe !
* Film 1 / AL ALAM TV / armes chimiques saoudiennes de l’ASL découvertes par l’Armée syrienne à Djobar / sur https://www.facebook.com/photo.php?v=1407657982785697
* Film 2 / RT (images de TV SYRIA) / des soldats syriens subissent une attaque djihadiste au gaz / sur https://www.facebook.com/photo.php?v=1407660906118738
Syrie: ce sont bien les terroristes de l’ASL – qui, eux, portaient des combinaisons NBC – qui ont ouvert un bidon de gaz sarin – fourni par l’Arabie Saoudite et/ou Israël – dans le secteur de Djobar, tuant au moins 355 civils. Le sioniste Laurent Fabius et le pantin Hollande sont complices des assassins
Un combat acharné est en cours entre les troupes syriennes et les rebelles dans le quartier de Djobar, sur le Rif de Damas (la grande banlieue), où un dépôt d’armes chimiques a été découvert ce 24 août par les troupes gouvernementales, a annoncé la télévision officielle syrienne.
Selon TV SYRIA, des soldats ont découvert plusieurs tonneaux présumés contenir des substances toxiques, ainsi qu’un grand nombre de masques à gaz. Les inscriptions tracées sur les tonneaux indiquent qu’ils ont été fabriqués en Arabie saoudite.
Il est aussi mentionné plusieurs cas « d’asphyxie » parmi les soldats entrés dans Djobar. Le Sarin, comme le VX sont en effet « persistants ».
Mercredi, le ministre des affaires étrangères iranien avait déjà déclaré à son homologue turc que si l’information d’une attaque chimique était confirmée, les rebelles seraient « assurément les responsables » de l’emploi de telles armes.
Une preuve supplémentaire ? La soi-disant « opposition syrienne » ne se montre pas disposée à garantir la sécurité des experts de l’ONU, ce qui entrave le lancement d’une enquête sur l’utilisation d’armes chimiques à Djobar, a déclaré vendredi le porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Alexandre Loukachevitch. « L’opposition refuse de donner des signaux si nécessaires aujourd’hui, y compris en ce qui concerne sa disposition à assurer la sécurité et le travail efficace des experts onusiens », lit-on dans la déclaration du porte-parole mise en ligne sur le site de la diplomatie russe.
Ce comportement « empêche de lancer une enquête objective sur les affirmations faisant état de l’usage d’armes chimiques en Syrie », a indiqué M. Loukachevitch, ajoutant qu’il s’agissait d’une « enquête réclamée par différents pays, y compris par la Russie ».